mardi 28 octobre 2008

PERAV PROD ENTREPRISE


Marque déposée en 2002


Péravprod est une entreprise artistique humaine sans statuts sans bureau sans marché sans travail. Désireuse d’une activité à caractère professionnel, d’un patrimoine professionnel.
Nos activités rayonnent dans le domaine de la contre-culture mais le Ministère de la Culture ne nous apporte rien, aucun avenir, économiquement partenaire sans l’être. Pérav prod cherche une candeur.


Péravprod veulent ouvrir un autre marché de l’art avec d’autres règles dans les règles de l’art.

Péravprod est une légende au commun des mortels. Le projet des pérav est de réussir, de réformer la légitimé et la co-propriété des œuvres. Pérav tend à la citoyenneté et à la responsabilité de ses actes. Pérav c’est : des métiers. Péravprod c’est la porte ouverte à l’anti-chambre des métiers de l’art.

Péravprod veut monter son entreprise, après avoir déposé sa marque, son logo, en 2002, par une institution. Pérav est une œuvre d’art, une institution du début du XXI°siècles, sans acquis commerciaux. La synergie des créateurs proposée aux projets pérav est une économie salvatrice éprouvée et approuvée. Le caractère commercial de l’entreprise est fondamental à ma survie de la création. Le Ministère de la Culture s’interroge et s’éloigne de l’exception culturelle française. Péravprod va ouvrir une voie entre perte et fracas. Une tentative est recommandée pour l’histoire de l’art.

La co-production est une constante en Art, mais aujourd’hui, avec la mondialisation, le marché de l’art très réactionnaire à une image, aux enchères très marginales et péjoratives, pour le grand public seul les produits dérivés sont accessibles aux portes feuilles. Bien évidemment il n’est pas dans les mœurs d’acheter une œuvre d’art. L’image associée à la Culture est une contre institution et chacun sait qu’en France, l’institution occupe une grande place dans la production des projets d’artistes. Bien utilisé la culture profite à tout le monde, elle ouvre les yeux. L’art n’est pas attractif, il ne fait ni l’unanimité ni de l’audimat.

Péravprod travaille régulièrement avec des collaborateurs, des partenaires et des institutions. Pérav prod et ses valeurs traite d’une situation qui n’est pas récréative, jusqu’aux tabous. Monter une entreprise c’est une idée nouvelle, car le marché de l’art et les institutions ne produisent qu’un seul art, et le cloisonne, aussi pour ouvrir le champ de travail à toute l’année, monter une entreprise c’est aussi une œuvre d’art. Elle explique et montre incroyablement cette situation. Sortir du moule et enfiler une autre image, une autre casquette juridique, fiscale, d’autres compétences.

Pérav c’est des projets modestes, prétentieux, imprévisibles ou merdiques. Aux nombres de deux à ouvrir les portes, aux nombres de deux à les fermer.
Le champ d’action est la créativité, elle est identifiée en milieu culturel, elle a tendance à prendre des utilisations très élastiques qui tend jusqu’au marché mais qui s’écroule au bout de deux secondes, dans ces conditions nous sommes très peu invités à gérer des projets, aussi nous prenons la discipline des espaces vierges de programmations. Montrer l’exemple par le contre-exemple, c’est adopter un programme, donc le théoriser, et la trajectoire à tenir pour ne pas connaître la débâcle, est de réformer l’art par cette aptitude. La révélation au plus grand nombre par la distribution des œuvres. Revisiter le coût des œuvres, la loi du marché.

Deux aspects de l’entreprise : la durabilité improbable de la créativité permanente. La difficulté à trader les œuvres, à quitter le patrimoine individuel pour une étiquette collective, la marque, le logo, mais qui défend les valeurs des œuvres. La volonté de rayonner par la distribution outre les difficultés à survivre dans le régime commercial et fiscal.
Un état-nation de l’art en France permettrait aux créateurs de s’exprimer plus souvent, sur des sujets sensibles, plus engagés, mieux accompagnés, mieux informés. Une économie réaliste de co-production avec les grands groupes privés ou les grandes institutions pour un rayonnement de la France qui communiquerait mieux. L’économie déloyale des projets et programmes culturels échouent pitoyablement dans un marché de l’art très réac’. Les œuvres produits par les institutions ne s’engagent par toujours à acquérir les œuvres, les Fracs non plus, et pour les privés c’est un hoobie, alors que dire de plus.

Pérav va monter son entreprise, survivre, s’écrouler ou s’envoler et la nature humaine se porte mieux. Une telle expérience exige d’être en bonne santé (la bonne santé de l’entreprise. Produire un dispositif fiscal à la créativité. Matérialiser les projets qui incluent les éléments évidents d’une diffusion distribuée. Produire des œuvres, au prix bas, des œuvres majeures, un rayonnement médiatique, publicitaire, pour une maison-mère, un marché-père.
Pérav’prod ne veux pas constituer un fond, une collection. Les œuvres pérav ne se collectionne pas, elles sont disponibles et indispensables sur le marché. Un des premiers grands projets commerciaux est la vente dans 8 ans de sa marque déposée, son logo, actuellement en inflation.
Pérav est un peu radical, son image, ses membres et son programme n’est pas tendre. Les compétences évoluent ainsi que les moyens mis en œuvres.

Olivier Paulin
PERAVPROD

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